dieu main ciel Amour Foi & Lumière...

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13. Decembre 2013
Restez stable dans les moments difficiles

 

"Ne vous laissez effrayer en rien par vos adversaires : ce sera pour eux le signe qu’ils vont à leur perte et pour vous le signe que vous êtes sur la voie du salut ; et cela vient de Dieu." 

Philippiens 1.28

 

Beaucoup de chrétiens ont des dons et des talents et sont appelés à faire de grandes choses pour Dieu. Pourtant Dieu ne leur a pas encore donné le feu vert, parce qu'ils doivent toujours apprendre à être stables, dignes de confiance, solides et maîtres de leurs émotions. 

En tant que chrétiens, nous devons vivre la vie que nous proclamons pour que nos dons et nos talents puissent s'exercer – non seulement pour notre propre bien, mais aussi pour celui de notre entourage.

Je suis très heureuse d'être mariée à un homme stable. De tout ce que Dave m'a apporté, je lui suis infiniment reconnaissante de m'avoir enseigné la valeur de la stabilité. Au début de notre mariage, il ne savait jamais comment je serais le lendemain, et moi non plus ! C'étaient les circonstances qui décidaient de mon humeur – ce qui était très pénible.

Il arrivait que je me lève d'excellente humeur et subitement, quelque chose me contrariait et à neuf heures du matin, le reste de ma journée était totalement gâché. Il n'est pas nécessaire qu'il en soit ainsi. Nous pouvons contrôler nos réactions, mais tant que nous n'en serons pas convaincus, rien ne changera.

La première chose est de cesser de nous trouver des excuses du genre "C'est plus fort que moi. Je suis une personne très sensible. Si vous deviez supporter ce qui m'arrive, vous seriez aussi dans tous vos états !" Dieu ne vous demandera jamais quelque chose que vous ne puissiez faire avec son aide. Et vous pouvez accomplir beaucoup de choses si vous apprenez à contrôler vos émotions.

Que cela vous plaise ou non, vous êtes engagé dans un combat spirituel. Votre ennemi, Satan, s'en prend à vous de bien des manières et ne vous laissera pas de répit. Il vous faut donc apprendre à lui résister.

Paul écrit dans Philippiens 1.28 : "Ne vous laissez effrayer en rien par vos adversaires : ce sera pour eux le signe qu'ils vont à leur perte et pour vous le signe que vous êtes sur la voie du salut ; et cela vient de Dieu".

Ce texte nous dit que Dieu et le diable nous regardent l'un et l'autre. Si nous demeurons paisibles, le diable sait qu'il ne peut pas nous déstabiliser et que nous ne lui céderons pas. Mais c'est aussi un signe pour Dieu que notre confiance est véritablement en lui.

Vous pouvez répéter maintes fois que vous faites confiance à Dieu, mais si vous êtes continuellement contrarié, vous ne lui faites pas vraiment confiance. Et aussi longtemps que vous essaierez de vivre par vos propres forces, Dieu se tiendra à l'écart et dira : "Fais-moi savoir quand tu seras prêt à me laisser t'aider."

Vous et moi avons le privilège non seulement de croire en Christ, mais aussi d'endurer une légère souffrance dans l'attente de sa délivrance, parce que ce sont les moments difficiles de notre vie qui nous font mûrir. Chaque jour où vous tenez ferme dans votre foi, en dépit des circonstances, vous grandissez spirituellement.

 

Une action pour aujourd'hui :

Soyez déterminé à faire confiance à Dieu. Quoi qu'il arrive, demeurez en paix ; restez serein ; conservez une attitude de louange et d'action de grâce ; faites ce que vous pouvez ; et continuez à proclamer : "Dieu combat pour moi."

enseignement d'actualité, à se ressasser à méditer sans relache...


14. Decembre 2013
Apprenez à vous aimer !

 

"Qu’il fuie tout ce qui est mal et fasse le bien. Qu’il cherche la paix avec tout le monde et lui reste passionnément attaché." 

1 Pierre 3.11

 

N'est-ce pas là un texte merveilleux ? La paix avec tout le monde, c'est-à-dire avec Dieu, avec votre prochain et avec vous-même. Avez-vous déjà pris conscience à quel point ces différentes relations étaient liées les unes aux autres ? Il est difficile d'être à la hauteur dans un domaine si vous ne l'êtes pas aussi dans les autres. Je veux vous parler aujourd'hui de la relation que vous avez avec vous-même. 

Je ne parvenais pas à aimer les autres parce que je ne m'aimais pas moi-même.

En ce qui me concerne, j'étais quelqu'un de très difficile à vivre. J'avais l'impression que tout le monde (à part moi) avait un problème. Je pensais que si les autres pouvaient seulement se comporter correctement, j'aurais beaucoup moins de mal à m'entendre avec eux. Je serais beaucoup plus heureuse s'ils changeaient et arrêtaient de m'irriter continuellement. Aussi stupide que cela paraisse à présent, c'était exactement ainsi que je raisonnais. Cela éveille-t-il un écho en vous ?

Toutes mes relations étaient boiteuses. Je ne parvenais pas à aimer les autres parce que je ne m'aimais pas moi-même. Et je ne m'aimais pas parce que j'avais du mal à comprendre à quel point Dieu m'aimait et prenait soin de moi. C'était un cercle vicieux et j'en étais prisonnière.

C'est alors que Dieu me révéla cette vérité toute simple : "Tu ne peux pas donner ce que tu n'as pas." J'ai fini par prendre conscience que je n'aimais pas les autres parce que je ne m'aimais pas moi-même. Si j'étais tellement prompte à voir les problèmes de ceux qui m'entouraient, c'est parce que je refusais de voir combien Dieu m'aimait.

Lorsque je découvris que je pouvais apprendre à m'aimer et à travailler en premier lieu sur ma relation avec moi-même, mes rapports avec les autres et avec Dieu s'améliorèrent. Il m'apparut clairement que tout était lié.

 

Un encouragement pour aujourd'hui : 

Lorsque vous regardez continuellement à vos propres fautes, vous êtes incapable de voir l'amour et l'acceptation de Dieu à votre égard. Il ne veut pas que vous vous attachiez à tout ce qui vous semble mauvais en vous. Il veut que vous fixiez vos regards sur lui et lui seul.

16. Decembre 2013
Accédez à la puissance de Dieu par la grâce et la foi

 

"[…] De même que le sarment ne peut de lui-même porter du fruit, s’il ne demeure sur le cep, de même vous non plus, si vous ne demeurez en moi." 

Jean 15.4

 

Dieu a un plan merveilleux pour chaque être humain. Il veut que nous profitions pleinement de chaque jour de notre vie, ce qui est impossible si nous vivons dans la peur et manquons d'assurance. L'assurance est la conviction que vous êtes capable de faire ce que vous devez ou voulez faire. Dieu nous donne cette assurance, mais nous devons apprendre à nous l'approprier par la foi.

Cette assurance venant de Dieu est en réalité sa grâce. Nous avons coutume de définir la grâce comme la faveur imméritée de Dieu ou quelque chose qu'il fait pour nous et dont nous sommes indignes. Mais c'est plus que cela. La grâce est également la puissance de Dieu, donnée gratuitement pour nous permettre de faire facilement ce dont nous sommes incapables par nous-mêmes, même au prix d'un grand effort. Cette découverte a changé ma vie.

J'avais déjà plusieurs années de vie chrétienne derrière moi quand j'ai appris comment accéder à la grâce, ou à la puissance de Dieu pour ma vie de tous les jours. Il m'a fallu commencer par comprendre que Dieu ne me demandait pas de vivre ma vie chrétienne par mes propres forces. De la même manière que j'étais incapable de "gagner" le salut par mes œuvres, je ne pouvais pas changer mon cœur ou mon comportement par mes efforts personnels. Jésus dit dans Jean 15.4 : "[…] De même que le sarment ne peut de lui-même porter du fruit, s'il ne demeure sur le cep, de même vous non plus, si vous ne demeurez en moi".

Chaque jour, nous avons besoin de venir à Dieu pour lui dire : "Seigneur, je ne peux rien faire sans toi. Je suis incapable de mener ma vie sans toi. En dehors de toi, il n'y a rien de bon en moi. Ma confiance est en toi. J'ai continuellement besoin de toi. Je crois en toi et j'ai confiance en toi, Seigneur." Lorsque nous nous humilions devant Dieu et lui demandons de nous aider, nous pouvons puiser à sa grâce par la foi.

J'aimerais souligner trois attitudes qui court-circuitent fréquemment notre foi et coupent notre accès à la puissance de Dieu. Ce sont les plaintes, l'auto-apitoiement et l'orgueil.

- Se plaindre est une attitude négative qui nous empêche d'être reconnaissants pour tout ce que Dieu a fait, fait et fera. C'est un péché dont nous devons nous repentir, avant de prendre la décision de remercier Dieu pour toutes choses et en tout temps. Sa grâce et ses bénédictions sont toujours plus importantes que ce qui nous déplaît dans notre vie.

- L'auto-apitoiement est le fait de se prendre en pitié. C'est une forme d'idolâtrie, dans la mesure où il vous amène à vous focaliser sur vous-même et à ne penser qu'à vous. Mais nous ne pouvons pas à la fois nous plaindre et être puissants. Aussi, décidons de cesser de nous apitoyer sur notre sort. 

– L'orgueil s'attribue le mérite de ce que Dieu a fait et lui vole sa gloire. Il nous empêche d'être dépendants de Dieu. Or, en dehors de Christ, nous ne pouvons pas porter de bon fruit.

 

Une action pour aujourd'hui : 

Dieu possède tout ce qui vous est nécessaire pour vous permettre de faire face à toutes vos obligations. Il vous aime et veut vous donner sa puissance pour vivre votre vie de tous les jours dans la joie. Appuyez-vous sur lui, sûr de sa sagesse et de sa puissance, et vivez avec l'assurance qui vient de lui.



(Texte diffusé en partenariat avec le Top Chrétien)

18. Decembre 2013
Donnez à Dieu la première place

 

"La jeune fille oublie-t-elle sa parure, la fiancée sa ceinture ? Or, mon peuple m’a oublié depuis des jours sans nombre." 

Jérémie 2.32

 

Il y a quelques temps, j'ai lu quelque chose de très intéressant. Quelqu'un avait essayé de calculer de quoi était faite une existence classique de soixante-dix ans. L'étude manquait certainement de rigueur scientifique, mais c'était intéressant de voir à quoi la plupart d'entre nous passions notre temps. 

J'ai appris que si vous atteignez l'âge de soixante-dix ans, vous aurez passé vingt-trois années à dormir, seize à travailler, huit à regarder la télévision, six à manger, six à voyager, quatre et demie pour vos loisirs, quatre à être malade et deux à vous habiller. Mais retenez bien ceci : sur soixante-dix années d'existence, on a calculé que vous consacrerez seulement six mois – la moitié d'une année – à des activités religieuses !

Dieu nous redit sans cesse dans la Bible qu'il veut que nous lui donnions la première place dans nos vies et pourtant, passer du temps avec lui est souvent le dernier de nos soucis.

Peut-être pensez-vous que vous consacreriez davantage de temps à Dieu, si seulement vous en aviez ! Croyez-moi, je sais ce qu'être occupé veut dire. Le temps dont nous disposons est le même pour tous. Alors comment se fait-il que certaines personnes semblent tellement proches de Dieu et vivent une communion étroite avec lui ? D'autres personnes quant à elles semblent ne jamais pouvoir s'approcher de Dieu. Rien ne semble marcher dans leur vie !

Qu'est-ce qui fait la différence entre ces deux types de chrétiens ? Ceux qui ne parviennent pas à s'approcher de Dieu disent qu'ils n'ont pas de temps à lui consacrer. Les autres prennent le temps. Ils savent combien il est important de donner la première place à Dieu et de passer du temps avec lui ; ils en font la priorité de leur vie.

Et vous ? Laquelle de ces deux situations correspond-elle le plus à ce que vous vivez aujourd'hui ? Vous sentez-vous proche de Dieu ou au contraire très loin de lui ? Traversez-vous des difficultés que vous êtes apparemment incapable de surmonter ?

Nous aimons incriminer les autres ou même le diable lorsque nous vivons des circonstances difficiles. Mais souvent, nos problèmes résultent directement du fait que nous n'accordons pas à Dieu la première place dans nos vies. Si nous prenons la décision de faire de notre relation avec Dieu la première de nos priorités et que nous le gardons à la première place, nous ne serons plus prisonniers des circonstances difficiles de la vie.

 

Une prière pour aujourd'hui : 

Seigneur, je veux que tu aies la première place dans ma vie. Je veux faire de notre relation la première de mes priorités. Aide-moi à tenir mon engagement et à désirer davantage prendre du temps avec toi. Amen.



(Texte diffusé en partenariat avec le Top Chrétien)

19. Decembre 2013
Comment traitez-vous les autres ?

 

"Je vous donne un commandement nouveau : Aimez-vous les uns les autres ; comme je vous ai aimés, vous aussi, aimez-vous les uns les autres. À ceci tous connaîtront que vous êtes mes disciples, si vous avez de l’amour les uns pour les autres."

Jean 13.34-35

 

Jésus affirme ici que ce n'est pas à votre lecture régulière de la Bible ou à votre fréquentation assidue de l'église que le monde reconnaîtra que vous êtes chrétien – bien que ces choses soient extrêmement importantes. C'est la façon dont vous traitez les autres qui montrera votre amour pour Christ.

Je crois fermement que Dieu attache une importance capitale à notre attitude envers les autres. J'en suis profondément convaincue. La manière dont nous choisissons de traiter ceux qui nous entourent importe plus à Dieu que tout ce que nous pouvons faire d'autre.

Vous avez certainement entendu ce vieil adage : "Les actes parlent plus fort que les mots." C'est vrai. Vous pouvez parler d'amour du matin au soir, mais si vous ne traitez pas les autres avec amour, vos mots sont vides de sens et n'ont ni poids ni puissance.

Avant de pouvoir apprendre à aimer les autres, il nous faut cesser d'avoir une trop haute opinion de nous-mêmes. Sachez que si nous croyons vraiment que nous sommes meilleurs que ceux qui nous entourent, nous aurons du mal à les aimer. Nous commettrons l'erreur de penser que si nous sommes supérieurs, ils sont forcément inférieurs. Et dans ce cas, ils ne méritent pas notre amour. C'est là un raisonnement dangereux.

Jésus nous a appelés à servir, encourager, soutenir et, oui, aimer ceux que nous côtoyons, même s'ils ne pensent pas comme nous.

 

Une action pour aujourd'hui : 

La règle d'or que nous avons tous apprise étant enfants reste valable : "Traite les autres comme tu aimerais qu'ils te traitent."


(Texte diffusé en partenariat avec le Top Chrétien)

20. Decembre 2013
Vaincre le doute et l'incrédulité une fois pour toutes !

 

"Ainsi la foi vient de ce qu’on entend, et ce qu’on entend vient de la parole du Christ." 

Romains 10.17

 

J'ai adopté une "attitude de vie" qui me rend plus que vainqueur en Jésus-Christ : je suis déterminée à finir ma course, à profiter du voyage, à accomplir ma destinée et à avoir tout ce que Jésus veut me donner. 

Mais avant de faire mienne cette attitude, j'ai dû lutter contre deux écueils que le diable plaçait souvent sur mon chemin : le doute et l'incrédulité.

Le doute et l'incrédulité sont des problèmes majeurs pour les chrétiens. Ils sont négatifs et nous découragent. Ils sont responsables de mauvais choix qui compliquent la vie. Ils nous poussent à dire des choses comme : "Si seulement je pouvais perdre du poids" ou "Si seulement mes enfants se tenaient mieux" ou encore "Si seulement je pouvais garder ma maison propre", "Si seulement mes relations avec les autres étaient meilleures".

Arrêtons avec nos "si seulement" et croyons que Dieu nous donnera la sagesse, qu'il nous aidera à faire les bons choix, à surmonter nos épreuves ou nos tribulations si nous plaçons notre foi en lui !

Mais voilà, le doute et l'incrédulité tuent la foi.

Peut-être pensez-vous : "Je n'y peux rien… Si seulement je pouvais croire au lieu de douter !" Sachez que vous le pouvez parfaitement ! Dieu ne nous demanderait pas de croire en lui si c'était impossible. Nous pouvons vaincre le doute et l'incrédulité, pour peu que nous sachions comment nous y prendre.

Alors, comment faire ? Comment croire Dieu et vivre par la foi ? La réponse se trouve en Romains 10.17 : "Ainsi la foi vient de ce qu'on entend, et ce qu'on entend vient de la parole du Christ".

La clé ici est la Parole de Dieu. Nous devons l'aimer et la désirer comme nous désirons la nourriture lorsque nous avons faim. Quand nous sommes affamés, nous faisons généralement ce qu'il faut pour nous procurer de quoi manger.

La Parole de Dieu est un remède pour notre âme et la nourriture dont nous avons besoin pour garder un esprit fort. Alliée à la foi, elle renferme en elle la puissance pour changer nos vies. Étudiez la Parole et proclamez-la.

Dans Luc 4, le diable s'approcha de Jésus dans le désert pour le tenter. Jésus lui répondit à chaque fois : "Il est écrit…" et poursuivit en citant la Parole de Dieu. Il se servait de la Parole comme d'une arme pour réfuter les mensonges de l'ennemi.

Nous pouvons faire de même. Nous pouvons répondre aux pensées que le diable met en nous en leur opposant la vérité de la Parole de Dieu. Nous pouvons nourrir notre foi de la Parole, plutôt que d'alimenter le doute avec les mensonges du diable.

Ne soyez pas un chrétien paresseux et refusez une attitude passive et apathique. Soyez déterminé à faire votre part pour édifier votre foi. Ne renoncez jamais. Vous vaincrez le doute et l'incrédulité !

 

 

Une action pour aujourd'hui : 

Prenez la décision de douter de vos doutes et croyez que ce que Dieu dit est la vérité. Parlez des bonnes choses que Dieu a faites plutôt que de vos problèmes. Passez du temps avec des personnes qui nourrissent votre foi, qui vous encouragent et croient Dieu.


 

27. Decembre 2013
L'importance de notre attitude

 

"Tous les Israélites murmurèrent contre Moïse et Aaron, et toute la communauté leur dit : Que ne sommes-nous morts dans le pays d’Égypte, ou que ne sommes-nous morts dans ce désert ! Pourquoi l’Éternel nous fait-il entrer dans ce pays, pour tomber par l’épée ? Nos femmes et nos petits enfants deviendront une proie. Ne vaut-il pas mieux pour nous retourner en Égypte ? Et ils se dirent l’un à l’autre : Donnons-nous un chef et retournons en Égypte."

Nombres 14.2-4

 

 

Quelle est l'importance de votre attitude ? Joue-t-elle un rôle quelconque dans votre réussite ou votre échec, ou ces derniers dépendent-ils plutôt de votre connaissance, de vos compétences ou simplement de la chance ? Je suis convaincue que votre attitude est déterminante et fait toute la différence. Vous pouvez être instruit, compétent ou même chanceux, si votre façon de penser n'est pas juste, vous n'atteindrez jamais le niveau de réussite que vous souhaitez. 

Notre vie spirituelle est un voyage. Nous ne nous réveillons pas un beau matin en ayant la réponse à toutes nos questions et la solution à tous nos problèmes. Cela se fait avec le temps. Nous progressons, apprenons, faisons de nouvelles expériences, échouons et nous relevons. C'est un voyage. C'est pour cela que je suis convaincue que l'exemple du voyage des Israélites depuis l'Égypte jusqu'en Terre promise sous la direction de Moïse est riche d'enseignements pour nous.

Les Israélites passèrent quarante années à errer dans le désert, pour parcourir une distance qui aurait pu être couverte en onze jours. J'ai toujours été étonnée de ce que, sur les plus de deux millions de personnes qui quittèrent l'Égypte, seuls deux hommes – Josué et Caleb – entrèrent effectivement en Terre promise.

Pourquoi cela ? Parce que les attitudes des Israélites étaient mauvaises. Examinons-en quelques-unes d'après ces versets. Il nous est dit qu'ils murmurèrent – ils étaient ingrats, mécontents de leur situation et insatisfaits. Ils critiquèrent Moïse et le rendirent responsable de leurs problèmes et de leurs désagréments. Ils allèrent jusqu'à dire qu'ils auraient préféré mourir en Égypte ! J'ai l'impression qu'ils avaient peur ; c'étaient des lâches qui s'apitoyaient sur leur sort. Ils n'avaient pas l'attitude qui mène au succès.

Voyez-vous, vos attitudes ne sont rien d'autre que vos pensées mises au grand jour. Tout ce que vous pensez se révèle dans votre attitude. Est-ce important ? Et comment !

 

Un conseil pour aujourd'hui : 

Souvenez-vous que vos pensées déterminent vos actes. Et la façon dont vous agissez détermine votre réussite dans la vie. Mais la réussite ne commence pas avec vos actes. Elle débute dans votre esprit

2. Janvier 2014
Faites face à votre peur !

 

"Mais l'Éternel est ma retraite, mon Dieu est le rocher de mon refuge." 

Psaumes 94.22

 

 J'ai entendu un jour l'histoire d'un village où l'on interdisait à tous les enfants de monter au sommet de la montagne, où vivait un monstre terrible. Comme cette interdiction durait depuis des générations, tout le monde croyait que c'était vrai et craignait par conséquent d'escalader la montagne. 

Un jour, plusieurs jeunes gens courageux décidèrent de ne plus avoir peur de ce monstre et de monter sur la montagne pour l'affronter. Ils chargèrent donc leurs sacs à dos et se mirent en route. À mi-chemin, ils entendirent un puissant rugissement. Le bruit était si fort que la moitié des jeunes gens, saisis d'effroi, rebroussèrent chemin en courant. Les autres poursuivirent leur ascension. Peu de temps après, ils aperçurent le fameux monstre et constatèrent qu'il était beaucoup plus petit que ce qu'ils s'étaient imaginé. Mais lorsqu'il rugit, beaucoup furent néanmoins pris de peur et dévalèrent la pente, à l'exception d'un seul.

Celui-ci se dit : "Je vais attraper ce monstre coûte que coûte." Il fit un nouveau pas dans sa direction. Le monstre rétrécit. À présent, sa taille ne dépassait plus celle du jeune homme. Et plus celui-ci s'approchait, plus le monstre rapetissait. Bientôt il fut si près que le monstre aurait pu tenir dans la paume de sa main. Le jeune homme le regarda en face et lui demanda : "Qui es-tu ?" Le monstre répondit d'une toute petite voix aiguë : "Mon nom est Peur."

Cette histoire illustre bien le fonctionnement de la peur. L'objet de votre peur paraît monstrueux et horrible, jusqu'au jour où vous décidez de l'affronter. Et plus vous le regardez en face, plus il perd d'importance.

Si vous suivez le plan de Dieu pour vaincre la peur, vous découvrirez que ce qui vous a le plus effrayé n'était en réalité pas si terrible que cela. Rappelez-vous, si vous faites face à vos peurs, vous pouvez les surmonter.

 

 

Une action pour aujourd'hui : 

Ne vous laissez plus tromper par vos peurs. Affrontez-les en vous appuyant sur la Bible et en croyant que Dieu est pleinement capable de vous aider à les vaincre.


 
 



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