dieu main ciel Amour Foi & Lumière...

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3. février 2014
Prier, tout simplement !

 

"Or sans la foi il est impossible de lui être agréable ; car il faut que celui qui s'approche de Dieu croie que Dieu existe, et qu'il est le rémunérateur de ceux qui le cherchent."

Hébreux 11.6



Une prière n'a pas besoin d'être éloquente ou longue. En fait, la Bible nous recommande de ne pas répéter continuellement les mêmes phrases uniquement pour que nos prières soient plus longues. Et le fait de prier à voix haute ou à genoux, de joindre les mains ou de courber la tête ne leur donne pas plus de valeur.

Vous pouvez si vous le souhaitez vous mettre à genoux en signe d'humilité ou joindre les mains, mais ce qu'il faut savoir, c'est que ce n'est pas votre posture ou la durée de votre prière qui rend celle-ci efficace.

Je me souviens d'une époque où Dieu me mettait au défi de lui exposer mes désirs et mes besoins avec le moins de mots possible. J'ai eu beaucoup de mal au début. Par exemple, quand nous avons mal agi, il est difficile de dire simplement : "Seigneur, je sais que c'était mal et je le reconnais. Je te demande de me pardonner. Merci, Seigneur. Amen."

On entend plus généralement ceci : "Ô mon Dieu, je te demande pardon ! Seigneur, pardonne-moi ! Je t'en prie, Seigneur, pardonne-moi ! Ô mon Dieu, il faut que tu me pardonnes ! S'il te plaît, Seigneur… je te promets de ne pas recommencer."

Nous avons besoin d'augmenter notre foi en Dieu. Hébreux 11.6 nous dit que la foi lui est agréable, et que si nous croyons qu'il existe et recherchons sa présence, il nous récompensera. Inutile de quémander et de le supplier de nous aider. Dieu est un Dieu bon ! Il vous aime et veut le meilleur pour vous.



Une action pour aujourd'hui :

Passez du temps avec Dieu. Parlez-lui sincèrement et honnêtement. Déchargez-vous sur lui de vos soucis. Découvrez sa volonté, puis suivez-la. C'est simple.

 

Détecter et éliminer la rancune

04 février 2014
QCM

La plupart d’entre nous aiment se voir confier des responsabilités plus importantes, et il n’y a aucun mal à cela. Mais nos manquements dans certains domaines sont parfois un obstacle à notre promotion.

Des domaines comme le pardon 

Si quelqu’un vous a fait du tort, ne passez pas les dix années suivantes à vous faire du mal en ressassant l’offense. Il est probable que l’autre ne pense même plus à vous, alors que vous n’avez toujours pas digéré l’incident. Votre attitude ne nuit qu’à une seule personne : vous-même !

Voyez-vous, quand vous pardonnez à quelqu’un, vous en êtes le premier bénéficiaire.

Pour vous aider à comprendre l’importance du pardon, voici six indices permettant de détecter la rancune dans votre cœur. Une fois le problème réglé, vous aurez fait un pas de plus vers des responsabilités plus importantes.

La rancune tient toujours des comptes. Dans Luc 15:29, le frère aîné dit à son père : « Cela fait tant d’années que je te sers ! » Pierre voulait savoir combien de fois il devait pardonner. Un cœur habité par la rancune aime compter. Or Paul écrit dans 1 Corinthiens 13:5 que l’amour « ne se souvient pas du mal » (Parole de Vie). Il ne garde pas le compte des torts subis.

Au début de notre mariage, quand Dave et moi nous disputions pour un rien, il m’arrivait de rappeler des incidents qui s’étaient produits des années auparavant. Dave me demandait alors : « Mais où gardes-tu tout ça ? » En fait, je les stockais dans un recoin caché de mon être, où ils me rongeaient insidieusement. Chaque nouvelle erreur de Dave s’ajoutait à ma liste, qui s’allongeait jusqu’à devenir une grosse boule d’amertume dans mon cœur.

La rancune se vante toujours de son bon comportement. Dans Luc 15:29, le frère aîné proteste : « Il y a tant d’années que je te sers, jamais je n’ai désobéi à tes ordres. » L’esprit de jugement nous pousse à dire que nous faisons toujours bien, alors que les autres font mal. Un cœur rancunier nous empêche de recevoir ce que Dieu a de meilleur pour nous.

La rancune n’arrête pas de se plaindre. « Tu ne fais jamais rien pour moi ! » Vous êtes-vous déjà surpris à penser cela d’une personne ? Une telle attitude voit uniquement les manquements des autres et jamais leurs actes positifs. La Parole de Dieu nous montre clairement que nous ne sommes pas censés nous plaindre. Et si vous n’arrêtez pas de vous lamenter au sujet d’une offense ou d’un incident, vous n’arriverez jamais à tourner la page. Ne perdez pas votre temps à vous plaindre.

La rancune souffre du syndrome du martyr. « C’est toujours moi qui fais tout. » Les bourreaux de travail sont particulièrement enclins à ce genre de réaction. Ceux qui travaillent constamment et ne savent pas profiter de la vie sont parfois jaloux de voir que les autres prennent du bon temps. Y a-t-il une personne qui vous irrite quand vous la voyez se détendre ? Si oui, il se pourrait que vous éprouviez de la rancune à son égard.

La rancune éloigne, divise et sépare. Quand les enfants se conduisent mal, nous parlons des « enfants de mon mari ». Ou nous demandons : « Qu’as-tu décidé concernant ton fils ? » Cette façon de parler divise. Peut-être avez-vous un collègue que vous évitez du mieux que vous pouvez ou un frère ou une sœur avec qui vous n’avez pas beaucoup de contacts. Qu’est-ce qui vous éloigne d’eux ? Se pourrait-il que vous ayez besoin de leur pardonner ?

La rancune est toujours jalouse et s’irrite des bénédictions d’autrui. Si quelqu’un qui vous a fait du tort est béni, vous êtes contrarié. C’était du moins ma réaction tant que je n’avais pas appris à pardonner. Le pardon est une décision, non un sentiment.

Prier pour quelqu’un qui vous a offensé est un choix. Mais la guérison est au bout du chemin. Bénir et non maudire signifie dire du bien et non du mal d’une personne en son absence. C’est lui faire du bien dans la mesure du possible.

Offrez-vous une vie meilleure

Je voudrais vous encourager aujourd’hui à décider de faire du pardon un mode de vie et à refuser de vous vexer.

Le pardon vous fera ressembler davantage à Christ. Alors que vous découvrirez l’importance du pardon et commencerez à le pratiquer, votre cœur guérira de son amertume. De plus, votre croissance personnelle vous permettra d’assumer les responsabilités plus grandes que Dieu veut vous confier.

6. février 2014
Six attitudes révélatrices de rancune

 

"Garde ton cœur plus que toute autre chose, car de lui viennent les sources de la vie."

Proverbes 4.23



Dieu nous a confié la responsabilité de garder notre cœur et de gérer toute rancune cachée. Il nous donnera la grâce de pardonner, mais c'est à nous de faire le premier pas. Pour cela, nous devons commencer par sonder notre cœur.

Peut-être ignorez-vous s'il y a ou non de la rancune dans votre cœur. Si vous avez pris l'habitude de vivre dans le ressentiment, vous aurez peut-être du mal à vous souvenir de toutes les personnes à qui vous devez pardonner. Ou peut-être y a-t-il quelqu'un à qui vous pensez avoir pardonné, mais il subsiste encore un peu d'amertume au fond de vous. Voici six attitudes révélatrices d'une rancune cachée.

La rancune tient toujours des comptes. Paul dit dans 1 Corinthiens 13.5 que l'amour "ne se souvient pas du mal". Gardez-vous soigneusement le compte des torts que vous subissez ? Les stockez-vous sur un disque dur mental, au cas où vous auriez besoin de les télécharger pour vous rafraîchir la mémoire ? S'il y a quelqu'un dont vous comptabilisez les offenses, c'est un signe que vous ne lui avez pas pardonné.

La rancune se vante toujours de son bon comportement. Il est facile de penser en regardant autrui : "Je ne ferais jamais ça ! Je n'arrive pas à croire qu'il ait pu faire une chose pareille !" Les propres justes ne voient jamais leurs péchés, mais ils sont imbattables pour voir ceux de tous les autres.

La rancune n'arrête pas de se plaindre. Vous souvenez-vous de la parabole du fils prodigue dans Luc 15 ? Le frère aîné ne tarda pas à se plaindre du retour de son cadet. Dans Luc 15.29, il dit à son père : "Voici : il y a tant d'années que je te sers, jamais je n'ai désobéi à tes ordres, et à moi tu n'as jamais donné un chevreau pour me réjouir avec mes amis." Au lieu de se réjouir du retour du fils prodigue, tout ce qu'il trouva à faire fut de se plaindre de n'avoir jamais pu faire la fête avec ses amis.

La rancune éloigne, divise et sépare. Chaque fois que Dave, mon mari, avait une parole qui me froissait, ma réaction spontanée était de m'éloigner de lui. Je n'arrêtais pas de ressasser ses remarques au lieu de lui pardonner et de tourner la page. Je ne voulais pas me trouver dans la même pièce que lui et la nuit, je dormais tout au bord du lit. En refusant de lui pardonner, je gaspillais mon énergie émotionnelle et me laissais voler ma joie.

La rancune accuse, raconte l'offense et la rappelle constamment. Le fils aîné ne manqua pas de rappeler à leur père que son plus jeune fils avait quitté la maison et dilapidé son héritage dans une vie dissolue. Il lui dit en substance : "Comment peux-tu donner une fête en son honneur, Papa ?" Continuez-vous à parler des offenses ou des blessures subies par le passé ?

La rancune est jalouse et s'irrite des bénédictions de l'autre. Il n'est pas facile d'accepter que celui qui vous a fait du tort soit béni. Mais de même que le père donna une fête en l'honneur du fils prodigue, Dieu veut manifester sa bonté et son amour à chacun de nous. Et nous pouvons soit en profiter, soit passer à côté, comme l'a fait le frère aîné.

J'aimerais répéter cette vérité : tout ce que Dieu nous demande est pour notre bien. Vivre dans la rancune ne vous mènera nulle part. En fait, cela ne servira qu'à vous rendre malheureux. La bonne nouvelle est que Jésus a ouvert un chemin pour nous libérer de la rancune et nous permettre de vivre dans la joie et la paix.



Une action pour aujourd'hui :

Faites confiance à Dieu et demandez-lui de vous aider si vous avez besoin de pardonner à quelqu'un. Il veut que vous jouissiez pleinement de votre vie. C'est pourquoi rendez-vous service et pardonnez !


 

7. février 2014
Ne vous laissez pas détourner de l’essentiel

 

"Une autre partie tomba parmi les épines : les épines montèrent et l’étouffèrent, et elle ne donna point de fruit."

Marc 4.7



Mille et une choses peuvent accaparer nos pensées dans notre vie de tous les jours. Nos biens… les distractions… les soucis de ce monde… et même la recherche passionnée de certaines choses – bonnes ou moins bonnes – peuvent entraîner nos esprits et nos cœurs dans un tourbillon d'activités.


Nous vivons à une époque où la technologie est omniprésente ; il existe toutes sortes de gadgets capables de satisfaire pratiquement tous nos besoins. Autrefois, quand vous écriviez une lettre, elle pouvait mettre des mois pour arriver à destination. Aujourd'hui, vous pouvez parler à une personne à l'autre bout du monde comme si elle se trouvait dans la pièce d'à côté.

Je ne dis pas que toutes ces choses sont nécessairement mauvaises, mais simplement qu'elles risquent de nous déconcentrer et de nous faire dévier de nos priorités. Et c'est ce que l'ennemi recherche. Satan est passé maître dans l'art de nous perturber. Il cherche constamment à nous écarter du chemin de notre marche avec Dieu. Et il le fait entre autres en nous déconcentrant. S'il arrive à détourner notre attention sur nos manquements, nos préoccupations, ou sur le comportement d'autrui à notre égard, il nous empêche de nous concentrer sur ce qui est important ou juste.

J'ai passé l'essentiel de mes premières années de vie chrétienne à me focaliser sur ce qui n'allait pas chez moi. C'est probablement le cas de la plupart d'entre nous, parce que nous espérons nous changer. Mais rappelez-vous qu'en agissant ainsi, nous faisons le jeu du diable. Aujourd'hui, je porte plutôt mon attention sur la foi… je m'applique à aimer Dieu… à faire du bien à autrui. Il m'arrive encore de faire des erreurs, mais je demande pardon, je tourne la page et je me recentre sur ce qui est juste.

Aujourd'hui, je vous encourage à vous recentrer. Ne vous laissez pas distraire par vos erreurs. Regardez plutôt à vos points forts. Ne soyez pas obsédé par ce qui ne va pas dans le monde. Recherchez ce qui est positif. Ne ressassez pas indéfiniment une perte que vous avez subie… considérez plutôt ce que vous avez encore. En d'autres termes, ne vous intéressez pas à ce que fait le diable, mais regardez à Dieu. Il fait énormément de bonnes choses !

Attention, je ne vous demande pas d'enfoncer votre tête dans le sable, mais simplement de garder vos priorités. Il y aura toujours des occasions d'être troublé. La vie est ainsi faite. Mais c'est une perte de temps que d'essayer de changer ce qui ne peut l'être.



Une action pour aujourd'hui :

Chaque jour est un don de Dieu. Apprenez à regarder au donateur et profitez pleinement de ce qu'il vous offre !



 

8. février 2014
Soyez vainqueur grâce à vos paroles

 

"Celui qui garde sa bouche et sa langue garde son âme de la détresse."

Proverbes 21.23


 
Nos attitudes et nos actions sont largement influencées par les paroles que nous prononçons. Combien de fois vous êtes-vous entendu dire : "J'en ai assez de faire le ménage dans cette maison", "Tu m'exaspères aujourd'hui", ou "Ce travail est en train de me tuer" ?

De telles paroles n'apportent rien de positif dans nos vies. Entraînons-nous plutôt à dire ce que nous voulons vraiment dire. Et apprenons à être reconnaissants pour ce que nous avons, parce que même lorsque nous ployons sous les bénédictions, si nous n'y prenons pas garde, nous pouvons quand même trouver des raisons d'être négatifs et de nous plaindre. La vitesse à laquelle nous pouvons oublier les bonnes choses que Dieu a faites pour nous est véritablement stupéfiante !

Après que Dieu eut libéré son peuple de l'esclavage en Égypte et ouvert pour lui un passage dans la Mer rouge, "toute la communauté des Israélites murmura dans le désert contre Moïse et Aaron" (Exode 16.2). Autrement dit, ils oublièrent la délivrance miraculeuse de Dieu et préférèrent regarder à ce qu'ils n'avaient pas. Il est tellement facile de se plaindre quand les circonstances ne sont pas exactement comme on voudrait ! Mais souvent, c'est notre attitude qui nous empêche de progresser (Philippiens 2.14).

Chaque fois que vous êtes tenté de vous plaindre, songez combien il serait préférable d'être reconnaissant et de dire : "Seigneur, je me souviens des bonnes choses que tu as faites pour moi et je suis reconnaissant pour la délivrance que je sais que tu prépares."

Que nos circonstances nous plaisent ou non, il est important de rendre gloire à Dieu. Nous lisons dans Psaumes 91.2 : "Je dis à l'Éternel : Mon refuge et ma forteresse, mon Dieu en qui je me confie !". Et vous, qu'avez-vous dit à l'Éternel ?

S'il existe un domaine dans votre vie où vous avez du mal à être positif, lancez-vous le défi de vous abstenir de vous plaindre pendant un mois. Remplacez toutes les paroles négatives par des appréciations positives – et permettez à Dieu d'agir.

Ne perdez pas courage. Racontez aux autres ce que Dieu a fait pour vous. Dites-leur combien il est bon. Et priez qu'il leur accorde une délivrance dans leur vie. Quand nous faisons davantage confiance à Dieu qu'à nos sentiments, le diable est troublé. Je veux dire, quand Satan, malgré tous ses efforts, ne parvient pas à entamer votre foi en Dieu, il ne sait plus comment s'y prendre avec vous. Le roi David l'a appris alors qu'il était encore jeune garçon.

Dans 1 Samuel 17.45-49, il dit au géant Goliath : "Tu marches contre moi avec l'épée, la lance et le javelot ; et, moi je marche contre toi au nom de l'Éternel des armées […]. Aujourd'hui, l'Éternel te livrera entre mes mains […]". Et il traduisit aussitôt ses paroles en actes.

David courut vers Goliath, le tua et remporta la victoire. Lorsque nous sommes face à des géants dans notre vie, c'est exactement ainsi que nous devons nous comporter. Ne courez jamais à la rencontre de votre ennemi avec des paroles où se mêlent la foi et le doute. Montrez au diable à qui il a affaire !



Une action pour aujourd'hui :

Dieu vous donnera la victoire si vous gardez confiance et proclamez sa Parole. À compter d'aujourd'hui, prenez la décision de vous rappeler ses nombreux bienfaits – et parlez avec foi des délivrances à venir.

9. février 2014
Comment augmenter votre joie instantanément

 

"Si, en effet, quelqu’un veut aimer la vie et voir des jours heureux, qu’il préserve sa langue du mal et ses lèvres des paroles trompeuses […]."

1 Pierre 3.10


 

Les personnes religieuses et légalistes à l'excès trouvent toujours quelqu'un ou quelque chose à critiquer ou à juger. Elles sont particulièrement douées pour abaisser les autres par leurs paroles. Mais en tant que disciple de Christ, vous pouvez connaître une joie abondante qui déborde sur votre entourage.

Dieu veut se servir de VOUS pour rendre les autres heureux ! Et plus vous les rendrez heureux, plus vous le serez vous-même, parce que l'on récolte ce que l'on sème. Qu'avez-vous dit aujourd'hui ? Les paroles que vous avez prononcées vous ont-elles aidé à jouir de la vie ? 

Méfiez-vous des voleurs de joie : les commérages, les critiques, les plaintes, les reproches ainsi qu'une attitude négative et portée au jugement. Avec l'aide de Dieu, nous pouvons choisir uniquement des paroles qui seront une bénédiction pour nous-mêmes et pour les autres. David a souvent prié que Dieu l'aide à veiller sur sa langue. Il a écrit dans Psaumes 19.15 : "Reçois favorablement les paroles de ma bouche et la méditation de mon cœur en ta présence, Ô Éternel, mon rocher et mon rédempteur !".

Que dites-vous après avoir prié ? Lorsque nous avons un problème, il ne s'agit pas de faire comme s'il n'existait pas. Mais il ne sert à rien de le ressasser et d'en parler constamment. Il vaut mieux prier et prononcer des paroles qui appuient nos prières.

Et quand d'autres se lamentent auprès de vous, parlez plutôt de ce qui va bien. Faites dévier la conversation pour que s'établisse un climat positif. Jésus a dit que nous aurions des tribulations… et un peu plus loin : "Réjouissez-vous !"

J'ai constaté que c'est souvent lorsque je m'y attends le moins que Dieu fait le plus ! J'ai alors l'impression que tout se met subitement en place. C'est pourquoi dites quelque chose de positif. Choisissez de croire que Dieu est à l'œuvre.

Peut-être y a-t-il certains problèmes sur votre lieu de travail qui vous exaspèrent régulièrement. En parler ne servira pas à grand-chose, mais la prière pourrait tout changer. Rappelez-vous que Dieu a le contrôle des circonstances de votre vie. Il prendra soin de vous si votre attitude est juste.

À la prochaine épreuve, prenez la décision de vous abstenir de toute parole négative. Priez, puis dites quelque chose qui soit en harmonie avec votre prière. Si nous croyons réellement que Dieu est à l'œuvre, nous verrons des résultats.

Proverbes 15.23 dit qu'un homme éprouve de la joie quand il donne une bonne réponse et qu'une parole dite à propos fait du bien. Un compliment ne coûte rien. Prenez donc l'habitude de mettre en valeur tous ceux que vous rencontrez. Les paroles de Dieu sont remplies de vie et de puissance. Et vous pouvez faire beaucoup de bien à quelqu'un en lui transmettant les paroles de Dieu.



Une action pour aujourd'hui :

Regardez vos bien-aimés dans les yeux et exprimez-leur votre appréciation, surtout si vous avez toujours considéré leur présence ou leur travail comme allant de soi. Rappelez-vous que vous récoltez ce que vous semez. Vous pouvez instantanément augmenter votre joie en parlant différemment. 

 

10. février 2014
Apprenez à connaître Dieu personnellement

 

"Cessez de vous confier en l’être humain, dans les narines duquel il n’y a qu’un souffle […]"

Esaïe 2.22


 

J'étais une femme très mal dans sa peau, qui tirait sa valeur de ce qu'elle faisait. Et j'exerçais un ministère à plein temps ! Je faisais partie de l'équipe pastorale d'une église prospère, je dirigeais une rencontre hebdomadaire d'environ quatre cent femmes, j'avais une place de parking à mon nom et ma plaque sur la porte de mon bureau.

Je me sentais importante. Les gens venaient me voir pour recevoir de l'aide. Ils avaient besoin de moi – j'étais quelqu'un ! Puis un beau jour, après cinq ans de travail, Dieu me parla au moment où je m'engageais sur le parking de l'église. "J'en ai terminé ici avec toi Joyce" me dit-il. Ce fut dur à entendre. Dieu en avait terminé… mais pas moi.

Je savais que Dieu m'appelait à un autre service – un service plus grand. J'avais le don d'enseigner la Bible et je pensais qu'il pourrait peut-être m'utiliser pour atteindre le monde au-delà de notre église. J'avais aussi le désir d'écrire des livres. Mais je me sentais bien et en sécurité dans ma position à l'église. Je restai donc une année de plus. Ce fut une année frustrante, difficile !

Mon sentiment d'insécurité et mon besoin de "béquilles" pour me sentir importante et utile (mon titre, ma place de stationnement, mon nom sur la porte) m'avaient empêchée d'obéir à la première injonction de Dieu. Cette expérience me montra combien je me sentais mal dans ma peau. Je compris que je m'efforçais de plaire aux autres beaucoup plus que je ne désirais vivre pour Dieu. Je n'expérimentais pas la plénitude en Christ.

Il est dit dans Ésaïe 2.22 : "Cessez de vous confier en l'être humain, dans les narines duquel il n'y a qu'un souffle […]". Je devais apprendre à faire entièrement confiance à Dieu et à tirer mon sentiment de valeur et mon assurance de lui.

Je découvris qu'être seul avec Dieu – je veux dire sans pouvoir se reposer sur personne d'autre que lui – est vraiment la meilleure chose qui puisse vous arriver. En effet, c'est quand vous n'avez aucun autre appui que vous apprenez à réellement connaître Dieu. C'est alors que vous vous enracinez véritablement dans l'amour de Christ, que vous placez toute votre confiance en Dieu et que vous savez qui vous êtes en Christ. Vous êtes libre d'obéir à son appel, au lieu de vivre pour impressionner les autres ou leur plaire. Cette liberté est pour ceux qui le connaissent personnellement.



Une action pour aujourd'hui :

Si vous voulez connaître la sécurité et la plénitude véritables en Christ, vous devez prendre l'habitude de lui donner la première place dans tous les aspects de votre vie – vos conversations, l'usage que vous faites de votre temps, de vos finances… tout ! Et pour lui donner la première place, il faut que vous passiez du temps avec lui. 


 

Faites-Lui confiance !

“C'est dans le calme et la confiance que sera votre force…” Esaïe 30.15
Imaginez qu'au cours d'une randonnée en forêt votre petit garçon fasse une chute et se plante une écharde dans la paume de la main. Quelle attitude pensez-vous qu'il va adopter pour venir vous demander votre aide ? Se précipitera-t-il vers vous en hurlant et pleurant, réclamant votre attention immédiate et une guérison instantanée ? Préfèrera-t-il passer sous silence sa désobéissance – ne lui aviez-vous pas dit de faire attention pour ne pas tomber ? – et souffrir son mal en patience au risque de voir la plaie s'infecter ?
Ou s'approchera-t-il de vous tranquillement afin de vous montrer sa blessure, confiant que vous serez à même de l'aider ? Les épreuves de la vie, si elles ne sont pas toujours dramatiques, ressemblent souvent à des échardes plantées profondément dans notre chair. Nous nous demandons pourquoi nous avons été incapables de les éviter ou si nous méritions vraiment de les subir. Notre attitude face à elles déterminera la couleur de notre foi : - exigeante au point de réclamer l'intervention de Dieu sans trop tarder ? - inconsistante au point de ruminer notre désarroi sans abandonner à Dieu nos soucis et nos déboires ? – calme et confiante au point de nous appuyer sur les promesses divines en attendant Son aide ?
Car Ses promesses ne changent pas : “Acceptez d'aimer le Seigneur votre Dieu, de suivre le chemin qu'Il vous trace, d'obéir à Ses commandements… et le Seigneur vous comblera de bienfaits…” (Deutéronome 30.16) ; “Toutes choses contribuent au bien de ceux qui aiment Dieu, de ceux qu'Il a appelés selon Son plan” (Romains 8.28). Remarquez dans les deux versets les conditions préalables aux bénédictions : aimer Dieu et obéir à Son appel. Ce qu'Il avait demandé aux Israélites, Il nous le demande encore de nos jours. Si vous les remplissez, vous pourrez faire preuve de confiance et de calme
11. février 2014
Le poids de la religiosité

 

"De loin l'Éternel se montre à moi : Je t'aime d'un amour éternel ; c'est pourquoi je te conserve ma bonté."

Jérémie 31.3

       
 

Peut-être pensez-vous que vous accomplissez de bonnes actions, mais vous êtes-vous interrogé sur vos motivations ? Si elles ne sont pas pures, vous êtes coupable de la même religiosité que moi jadis. Quand vous faites du bien à quelqu'un uniquement pour recevoir quelque chose en retour, pour que les autres vous voient ou vous aiment, vos motivations ne sont pas bonnes.

Les personnes religieuses ne savent pas apprécier leur relation avec Dieu. Pour elles, elle se résume à un certain nombre d'obligations dont elles doivent s'acquitter pour être acceptées et aimées de Dieu. Elles ne voient pas Dieu comme leur Père céleste, mais plutôt comme un contremaître exigeant qui tient le compte de tout ce qu'elles font et émet un jugement sur le moindre de leurs actes. Elles s'imposent un fardeau bien pesant !

Pour les gens religieux, tout semble être une question de lois. Ils sont incapables d'apprécier le temps qu'ils passent avec Dieu, étant trop occupés à tenter de suivre scrupuleusement leur liste d'obligations. Ils édictent des règles strictes concernant leur pratique ou ce qu'ils mangent (ou ne mangent pas). Ils adoptent une approche légaliste dans tous les domaines de leur vie, depuis le ménage jusqu'à la prière et la lecture de la Bible. Ils font tout par obligation. Ils se sentent obligés d'agir de telle ou telle manière pour être un "bon chrétien" ou pour conserver la faveur de Dieu.

La vérité, malheureusement, est qu'aucun de nous ne sera jamais assez bon. Sous le poids des règles que nous nous imposons, nous sommes voués à l'échec. Nous ne sommes pas capables de suivre toutes ces lois religieuses. Ce type de légalisme nous mène dans une impasse.

Ce n'est pas ce que Dieu veut pour vous ! Il désire vivre une relation d'amour avec vous. Tout ce qu'il fait dans votre vie découle de son amour inconditionnel pour vous. Et il veut qu'il en soit de même pour tout ce que vous faites pour lui. Il veut que vous recherchiez la justice, non pas pour obéir à une série de règles, mais à cause de l'amour immense que vous lui portez.



Une vérité pour aujourd'hui :

Une fois que vous parvenez à vous affranchir de l'esclavage de la religion, vous pouvez véritablement commencer à aimer Dieu et à le servir d'un cœur pur. Vous n'avez plus besoin de vous efforcer de faire bonne figure en espérant vous attirer la sympathie d'autrui. Et vous ne douterez plus jamais de l'acceptation de Dieu.


 

17. février 2014
Allez jusqu’au bout du chemin avec Dieu

 

"Considérez, en effet, celui qui a supporté contre sa personne une telle opposition de la part des pécheurs, afin que vous ne vous lassiez point, l'âme découragée."

Hébreux 12.3



Je me demande ce qui se serait passé si Jésus avait demandé un coussin sur la croix. La croix est synonyme de résurrection, mais aussi de mort. Dieu soit loué pour la résurrection et pour ce qui s'est passé au matin du troisième jour ! Mais pour arriver là, Jésus a dû passer par la mort et la souffrance de la croix. Et la victoire l'attendait de l'autre côté.

Pourquoi Jésus a-t-il dû passer par la mort ? Pour enlever les clés de l'enfer et de la mort à Satan (Apocalypse 1.18). Il l'a fait pour nous, pour que nous n'ayons pas à nous contenter seulement de la moitié des bénédictions de Dieu. Et il a envoyé son Saint-Esprit pour nous aider à le suivre jusqu'au bout.

Pour aller jusqu'au bout du chemin, nous devons d'abord mourir à nous-mêmes. Il n'est pas facile de mourir à soi-même, aux désirs de la chair, mais c'est le prix à payer pour être libéré de ce qui vous retient dans votre marche avec Dieu.

Comment fait-on pour mourir à quelque chose ? En cessant de le nourrir. Chaque fois que vous cédez aux désirs de la chair, vous la nourrissez. Mais chaque fois que vous tenez bon et que vous refusez de satisfaire ses désirs, vous faites mourir un peu de votre chair.

Je pourrais énumérer des centaines de choses auxquelles j'ai dû mourir au fil des années. Je me contenterai d'en citer quelques-unes.

Le péché. Il y avait certaines choses que je savais pertinemment ne pas devoir faire, mais je les faisais quand même. L'expérience m'a appris que je ne pouvais pas recevoir la plénitude des bénédictions de Dieu tout en tolérant le péché dans ma vie.

L'accusation. C'était presque une seconde nature chez moi que de rendre les autres responsables de mes difficultés. Par exemple, si je ne retrouvais plus les clés de ma voiture, c'était parce que les enfants ou Dave les avaient déplacées. J'ai fini par comprendre que de constamment rejeter la faute sur autrui me rendait malheureuse et ne réglait pas le problème.

L'apitoiement sur soi. Nous apitoyer sur notre sort est le pire des gaspillages d'énergie qui soit. Nous ne pouvons pas nous laisser dicter nos réactions par les circonstances ou par ce que les autres font ou ne font pas. Nous pouvons décider d'être heureux quoi qu'il arrive.

Les plaintes. Passer une seule journée sans murmurer ou nous lamenter peut sembler relever du miracle. Mais en étant déterminés à prononcer plutôt des paroles positives et à demander l'aide de Dieu, nous pouvons peu à peu éliminer les plaintes de notre conversation. Pensez combien votre journée serait plus agréable si vous alliez au travail sans vous plaindre constamment.

La rébellion. La vérité est que si nous n'apprenons pas à nous soumettre à l'autorité, nous n'apprendrons jamais à nous soumettre à Dieu.

Les mauvaises paroles. Nos paroles sont porteuses soit de vie et de victoire, soit de mort et de destruction. Si nous voulons être heureux, nous devons veiller à avoir un discours qui soit en accord avec la Parole de Dieu.



Une action pour aujourd'hui :

Pour que notre relation avec Dieu grandisse, nous devons accepter de mourir à tout ce qui n'est pas de Dieu, afin d'arriver jusqu'au bout du chemin où nous attendent la victoire et la liberté. Si vous persévérez, faites de votre mieux et comptez sur Dieu, il vous libérera d'une vie engluée à mi-chemin afin que vous puissiez recevoir ce qu'il a prévu de meilleur pour vous.


 

19. février 2014
Comptez sur la grâce de Dieu

 

"...afin de montrer dans les siècles à venir la richesse surabondante de sa grâce par sa bonté envers nous en Jésus-Christ."

Éphésiens 2.7


 

Savez-vous que Dieu a une clé rien que pour vous, qui vous permettra de venir aisément à bout de toutes les frustrations et des échecs de la vie ?

Cette clé, bien utilisée, peut vous libérer de l'esclavage qui consiste à vouloir tout faire par vous-même. Elle s'appelle la grâce et c'est le cadeau de Dieu pour vous. Avez-vous eu du mal à accepter ce cadeau ?

Le problème, c'est que beaucoup d'entre nous ont de la peine à accepter un cadeau. Nous présumons toujours, particulièrement avec Dieu, que nous devons faire quelque chose pour le recevoir. On nous a enseigné que rien n'était gratuit et que nous devions travailler plus dur, ou plus longtemps, ou faire davantage de bonnes œuvres pour en être digne. Il n'est rien de plus faux.

La grâce de Dieu est un don gratuit. Vous n'avez pas besoin de travailler ou de faire quoi que ce soit pour la mériter. Sa grâce est une clé qu'il met à votre disposition pour vous permettre de marcher en vainqueur dans la vie.

Une fois que vous serez capable de vraiment faire confiance à Dieu et de recevoir sa clé de la grâce, vous serez libéré de cette obsession de vouloir tout faire par vos propres forces. Lorsque vous arriverez enfin à lâcher ce besoin de tout contrôler et que vous laisserez Dieu prendre la relève, votre vie sera transformée et vous pourrez accomplir des choses que vous n'auriez jamais crues possibles.



Une action pour aujourd'hui :

Rappelez-vous que vous n'arriverez jamais à tout gérer par vous-même. Choisissez plutôt de compter sur la grâce de Dieu. C'est une clé puissante qui vous ouvre des possibilités.

20. février 2014
Trouvez votre accomplissement dans l’inconnu !

 

“Fortifie-toi et prends courage, car c'est toi qui mettras ce peuple en possession du pays que j'ai juré à leurs pères de leur donner.”

Josué 1.6




Beaucoup de personnes, y compris moi-même, vivent régulièrement des situations nouvelles. Comme nous manquons d'expérience dans ce domaine, notre tendance naturelle est de revenir en terrain connu.

Face à l'inconnu, nous réagissons généralement par la peur. Mais en y réfléchissant bien, tout ce que vous faites ou vivez actuellement, vous l'avez fait ou vécu un jour pour la première fois.
Dans Josué 1, nous voyons un homme à qui Dieu confia une mission extrêmement importante – une mission pour laquelle il ne se sentait certainement pas prêt. Pouvez-vous imaginer ce que ressentit Josué lorsque Moïse mourut et que Dieu lui annonça que ce serait à lui de prendre la relève et de conduire Israël en Terre promise ?

Heureusement, Dieu savait que Josué était à la hauteur de la tâche. Il lui dit au verset 6 : "Fortifie-toi et prends courage, car c'est grâce à toi que ce peuple héritera du pays que j'ai juré à leurs pères de leur donner." Je ne cesserai jamais de m'étonner de ce que Dieu peut faire avec une personne, pour peu qu'elle ait la foi.

Au lieu d'avoir peur de la nouveauté, nous devrions au contraire nous réjouir des nouveaux défis et opportunités qui surgissent dans nos vies. Même si tous les autres nous disent que c'est impossible, si nous agissons avec foi comme Josué et suivons Dieu, il nous donnera la grâce d'aller de l'avant. 

Au début de mon ministère, j'avais dans l'idée de démarrer une émission de télévision à St Louis. Nous constituâmes un groupe de femmes qui connaissaient bien la Parole et louâmes un studio auprès d'une chaîne de télévision locale pour procéder aux enregistrements. L'idée était de réaliser des interviews, mais curieusement, chaque fois que je posais une question, j'y répondais moi-même ! J'étais incapable de me taire assez longtemps pour laisser quelqu'un d'autre répondre. Savez-vous quel accueil le public réserva à notre initiative ? En six mois, nous reçûmes un seul courrier d'un spectateur ! Pourquoi cet échec ? Parce que je ne m'attendais pas à Dieu.

Quelques années plus tard, Dieu nous demanda de créer une émission télévisée. Nous n'avions aucune idée de ce qui nous attendait. Nous louâmes une salle de banquet dont le plafond était trop bas et en partie effondré. En guise de toile de fond pour la scène, nous prîmes un tissu bleu qui ressemblait à un rideau de douche, que nous accrochâmes derrière moi. Tout cela paraissait ridicule, mais dès le premier jour, nous reçûmes 125 appels. Je me serais crue au ciel !

Voyez-vous, quand la main de Dieu est sur un projet – même si tout n'est pas parfait d'un point de vue pratique – son onction assure le succès.



Un encouragement pour aujourd'hui :

Je vous encourage à faire ce qui est dans votre cœur. En effet, pour être épanoui dans votre vie et votre ministère, la seule question que vous devez vous poser est celle-ci : Est-ce que je marche dans la voie de Dieu ?

21. février 2014
La vérité sur la prière

 

"Quand un juste prie, sa prière a une grande force."

Jacques 5.16


      

Avant de devenir le grand prédicateur que nous connaissons, Smith Wigglesworth exerçait le métier de plombier. Bien que converti à l'âge de 8 ans, à une période de sa vie, il délaissa de plus en plus l'oeuvre de Dieu et devint quelqu'un de pas très recommandable. Heureusement pour lui, il avait une femme pieuse, Polly.

Il ne voulait pas qu'elle aille à l'église, mais elle y allait quand même. À son retour, elle était obligée de dormir sur le porche à l'arrière de la maison. Le matin, quand il lui ouvrait la porte, elle entrait en lui lançant un : "Bonjour Smitty !" Puis elle lui préparait son petit déjeuner.

Polly était un exemple de piété pour lui. Elle priait pour son mari et Dieu lui donnait la grâce d'être bonne envers lui en dépit de la façon dont il la traitait. Et parce que sa gentillesse ne variait pas, Wigglesworth finit par revenir au Seigneur. Il fut changé de façon radicale et devint un des plus grands prédicateurs qui ait jamais existé. 

Telle est la puissance de la prière.

Je pense que si certaines personnes ne prient pas beaucoup, c'est parce qu'elles n'ont pas conscience de la puissance de la prière. En fait, elle est un des plus grands privilèges du chrétien.

Lorsque nous prions, nous ouvrons la porte à Dieu et le laissons s'occuper de nos problèmes et de nos situations difficiles. La prière fait de nous des partenaires de Dieu. Et si nous sommes impuissants à changer les autres et à les amener à aimer Dieu, il peut, lui, parler à leur cœur et les toucher.

Je crois aussi que la prière est plus facile que nous ne le pensons. Et elle peut s'intégrer dans notre vie au point que nous ne nous rendions même plus compte combien souvent nous prions. Elle peut devenir comme une respiration.

Alors qu'est-ce que la prière ?

Prier, c'est simplement parler avec Dieu. C'est lui demander de répondre à notre besoin ou à celui de quelqu'un d'autre. C'est le louer et le remercier. C'est lui remettre tout ce qui fait notre vie. Tout ce qui nous concerne doit faire l'objet de nos prières.

Nous avons besoin d'une foi plus grande en Dieu. Il est dit dans Hébreux 11.6 que celui qui croit est agréable à Dieu et que si nous nous approchons de lui et croyons qu'il existe, il nous récompensera. Inutile de le supplier pour le convaincre de nous venir en aide. Dieu est un Dieu bon ! Il nous aime et veut le meilleur pour nous.



Une action pour aujourd'hui :

Passez du temps avec Dieu. Parlez-lui en toute sincérité et honnêteté. Déchargez-vous sur lui de tous vos soucis. Cherchez sa volonté puis obéissez-lui. C'est simple.


 

23. février 2014
Quand un Dieu saint intervient

"Le voleur ne vient que pour dérober, égorger et détruire ; moi, je suis venu afin que les brebis aient la vie, et qu'elles soient dans l'abondance."

Jean 10.10



"Je pensais que ma famille ne changerait jamais, mais Dieu…"

"Ma vie partait à la dérive, mais Dieu…"

"J'avais l'impression d'avoir tout gâché, mais Dieu…"

La Bible dit que Satan ne vient que pour tuer, voler et détruire, mais Dieu est venu pour nous permettre de profiter pleinement de la vie (Jean 10.10). "Mais Dieu" est le moment où Dieu intervient. La vie est engagée dans une certaine direction – la situation paraît sans espoir – lorsque tout à coup Dieu intervient et tout change.

Chaque fois que j'enseigne ou qu'une nouvelle porte s'ouvre pour notre ministère, je sais que c'est grâce à Dieu. Voyez-vous, Dieu accorde sa faveur à quiconque croit en lui. Confessez chaque jour que sa grâce vous accompagne où que vous alliez. Dieu commencera à ouvrir des portes au-delà de vos espérances.

La vie de Joseph en est un bon exemple. Le livre de la Genèse nous dit que Joseph était le plus jeune de la famille. Ses frères étaient jaloux de lui et ne l'aimaient pas beaucoup. Il était le chouchou de son père, qui le gâtait probablement plus que ses autres fils. La belle tunique qu'il lui offrit ne fit qu'exciter leur jalousie. Ils décidèrent donc de le vendre comme esclave et de raconter à leur père qu'il avait été tué par des bêtes féroces.

Actes 7.9-10 nous dit que les patriarches, jaloux de Joseph, le vendirent pour être emmené en Égypte. Mais Dieu fut avec lui et le sauva de toutes ses détresses. Il lui donna la sagesse et lui permit d'obtenir la faveur du pharaon, le roi d'Égypte, qui l'établit comme intendant sur son palais et lui donna autorité sur tout le pays.

Joseph se retrouva donc à la deuxième position derrière le pharaon. Et pour autant que je sache, il n'a rien fait d'autre pour en arriver là que de conserver une bonne attitude et de faire confiance à Dieu quoi qu'il arrive. Et partout où il allait, il était bienveillant envers les autres.

Croyez-moi, si vous avez des problèmes dans la vie, le mieux que vous puissiez faire est d'avoir confiance en Dieu, de conserver une bonne attitude et d'être bon envers le maximum de personnes. Si vous agissez ainsi, le diable ne pourra pas vous garder dans ses griffes.

Quel que soit votre passé ou votre situation actuelle, si vous faites une place à Dieu, il opérera une restauration totale dans votre vie. Je le sais parce qu'il l'a fait pour moi. J'étais complètement détruite. Quand j'étais jeune, j'ai subi des abus sexuels de la part de mon père, j'ai été abandonnée par ma mère et j'ai vécu un premier mariage destructeur. À 23 ans, mon âme était brisée. Je ne savais plus où j'en étais et plus rien n'allait dans ma vie. Mais Dieu est intervenu et m'a totalement restaurée.


Une action pour aujourd'hui :

Dieu vous aime et il a un bon plan pour votre vie. Même si vous êtes actuellement en plein désastre, ne perdez pas espoir. Je sais que ce qu'il a fait pour moi – il a restauré chaque aspect de ma vie – il le fera également pour vous.


 

27. février 2014
Connaissez votre identité !

 

"Quoi que vous fassiez, en parole ou en œuvre, faites tout au nom du Seigneur Jésus, en rendant grâces par lui à Dieu le Père."

Colossiens 3.17


      
 
Cela fait plus de vingt ans que mon amie Penny et son mari servent dans le ministère comme pasteurs. Penny a également été mon aide personnelle. Elle a repassé mes habits, rangé mon désordre, préparé du café, prié pour moi ; en fait, elle était là chaque fois que j'avais besoin d'elle.

Beaucoup de personnes considèrent Penny importante dans son rôle de pasteur. Elles reconnaissent son statut et vont vers elle quand elles ont besoin d'aide. Mais malgré son poste de responsabilité, le fait de me servir, d'accomplir des tâches "subalternes" pour moi ne posait aucun problème à Penny. Elle sait qui elle est, et elle n'a pas besoin d'un titre de pasteur ou de responsable pour se sentir bien dans sa peau.

Penny est libre du besoin d'impressionner les autres, et elle est libre de servir le Seigneur de quelque manière que ce soit. C'est là une des libertés les plus merveilleuses que nous puissions avoir.

Chacun ressent à un niveau ou à un autre le besoin d'impressionner son prochain. Une grande partie de la pression, de la peur et du stress que nous expérimentons dans notre vie est causée par ce besoin.

J'ai découvert qu'il y a une véritable liberté à pouvoir dire : "Je ne peux pas faire ça. Ce n'est pas mon don ou la volonté de Dieu pour moi. Je ne pense pas qu'il m'appelle à cela."

Lorsque nous avons cette attitude, nous ne nous comparons pas aux autres et nous ne rivalisons pas avec eux. Nous ne nous inquiétons plus des normes du monde. Ainsi nous n'avons pas besoin de réagir en fonction des médias et de porter coûte que coûte les derniers vêtements à la mode, d'avoir le "bon" métier, etc. pour être considérés par les autres.

Sachez qui vous êtes en Christ, ce que vous pouvez faire mais également ce que vous ne pouvez pas faire ! Cela vous demandera d'accepter vos impossibilités et d'être humbles et honnêtes quant à vos capacités.



Une action pour aujourd'hui :

Connaissez votre identité ! Considérez ce que Dieu dit de vous dans sa parole. Acceptez-vous tel que vous êtes et soyez reconnaissant envers Dieu pour les capacités qu'il a vous a données.

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